Le temps s'assombrit le soleil se cache la lune rouge est là

Le bijuu donné à l’homme maîtrisant les marionnettes déserteur du village de Suna, l’assassinat du membre requin déserteur du village de Kiri. Il grâce à son aide, avait pus maîtriser le démon à une queue, Kisame…Était tout simplement l’homme qui les retardaient, celui qui empêchait l’organisation d’avancer à une bonne allure. Il était un obstacle, presque un ennemi pour le groupe de shinobi déserteur. Et l’homme qui masquait sans arrêt son visage sauf devant la jeune femme qui était tout le temps à ses côté avait pris la bonne décision. Tout le temps à ses côtés? N’était-ce pas un bien grand mot? Oui, cette fois ça l’était, parce que cette fois elle ne serait pas à ses côtés. Elle ne serait pas avec celui qu’elle accompagne depuis si longtemps, celui avec qui elle a grandit, celui qu’elle connaît depuis que le malheur c’est acharné sur sa triste existence, celui qui n’a été qu’un homme qui l’a protégeait du mieux qu’il pouvait; celui qui était un être plutôt sympathique, mais qui avec le temps c’est rendu compte que le bien n’était qu’une vaste illusion, que le monde des shinobis n’étaient pas fait pour une paix éternelle. Ils prétendaient faire le bien, tous prétendent faire le bien, mais le bien n’est qu’une vaste illusion inventé pour le bien être, c’est une action qui pousse parfois l’homme à tué, de le faire plus se rapproché de l’état animal plutôt que d’un état civilisé. Il faisait cela par égoïsme, la paix n’est pas une notion que l’on devrait apprendre aux gens… La guerre, était quelque chose de bien plus merveilleux, quelque chose qui avait bien plus d’utilisé. La guerre faisait avancé la technologie, elle faisait vivre les shinobis, elle leur montrait la mort en face, elle leur montrait le pourquoi de leur existence, pourquoi avaient-ils été formés, pourquoi devaient-ils savoir se battre, pourquoi on leur apprenaient à ne pas avoir de sentiment, et l’homme à ce moment la retournait à son esprit bestiale. Celui qui l’a tant fais vivre à une époque à présent bien lointaine, la guerre était un moment ou l’instinct de survie était à son plus haut degré. Ou haine et vengeance règne auprès des dirigeant, auprès des hommes qui manipule tous ces ninja comme des pantins, comme si ils étaient les marionnettes d’un jeu qui n’avait pourtant aucun sens. Les marionnettes d’un jeu dangereux, et qui pouvait parfois faire perdre la vie à l’un de ses orchestres. Un jeu ou seul le plus fort peu s’en sortir, et ou l’on ne peut faire confiance qu’à soit même et à son instinct, un moment ou les conseils de gens que l’on méprise même chez les alliés ne comptent plus, un moment ou l’on pense que ce que l’on veut faire est la meilleur des solutions. Pein…Chef de l’organisation nommé Akatsuki, l’homme qui a plusieurs reprise avait affronté des shinobis de haut niveau qui furent lamentablement écrasé, celui qui tirait les ficelles de l’organisation la plus dangereuse qui soit, c’était cet homme la que l’on considérait comme l’ai publique numéro 1. Pourtant…Personne qui ne faisait partit de l’organisation n’avait vu son visage, personne ne connaissait son nom, alors qu’il était à l’heure actuel l’homme le plus rechercher du monde des ninja. On connaissait déjà l’organisation Akatsuki, tout le monde la connaissait, elle avait fait parlé d’elle dans tous les pays, tout le monde traquait cette organisation qui partout ou elle passait laissait des traces, des traces non pas physique mais mentale. Des traces qui affectaient un village tout entier, qui le déstabilisait, qui avait pour conséquence de laisser un village dans une situation assez mal en point. Le dirigeant de l’organisation criminel n’avait pas finit de faire parler de lui, sous sa tunique noir encré de nuage rouge, cette tunique qui signifiait le malheur, cette tunique qui à chaque fois annonçait un mauvais présage était un bienfaiteur. Ces actions bien que brutal, étaient destiné à la survie d’un village…La survie d’un village qui était destiné à surpasser tout les autres. Assis sur son piédestal, préparant mentalement son départ, Pein regardait son village.




Tout ce qu’ils pouvaient penser, tout ce que l’Akatsuki avait accomplit pour le moment, tout cela était vain, ce n’était qu’une petite partie infime de la première phase du plan. C’était comme si…Comme si nous allions surgir pour la deuxième fois, c’était comme si tout ce que les membres de son organisation et lui-même n’avait fais que parler, ses derniers mois. C’était aussi surtout à cause de la longue absence dont son organisation avait du faire les frais, elle avait été déstabilisé elle aussi, elle avait même perdu des membres qui n’acceptaient pas le dirigeant temporaire, elle n’aimait pas le dirigeant qu’il y avait et par conséquent un bon nombre de shinobis étaient partit, et seul les plus fidèles, seul ceux qui savaient que Pein ne pouvait abandonner l’organisation qu’il avait lui-même fonder, ceux qui savaient qu’il allait revenir, ceux qui étaient donc les plus patients l’avaient attendus tout ce temps. Et puis les discussions continuèrent, elles semblaient être sans fin, la préparation d’un plan qui avait lui-même pris plus d’un mois, l’inactivité de l’Akatsuki commençaient à se ressentir, le calme et la paix se faisait de plus en plus présente. C’était le calme avant la tempête…L’Akatsuki qui n’agissait pas, mettre autant de temps sans que l’on puisse savoir ce qu’elle fait, ce qu’elle prépare, tout cela faisaient ils stressé les villages possédants des jinchuriki? Étaient-ils déjà prêt à recevoir la puissance destructrice de l’organisation criminel? La disparition, des shinobis d’une kunoichi de Konoha, le retour blessé à plusieurs reprise d’un homme qui se disait être sensei et qui disaient avoir affronté un homme qui portait la fameuse tenue, celle qui terrorisait un bon nombre de shinobis de n’importe quel pays, ce sensei qui avait plusieurs fois été battu par un homme qui l’avait épargné à deux reprises, pourquoi tant de bonté chez un homme si funeste? Chez un homme qui n’avait aucune compassion pour le monde des shinobis? C’était parce que l’être qui lui avait montré à plusieurs reprise une petite partie très minime de sa puissance qui pourtant l’avait mise en piteuse état avait ressentit que chez cet homme résidait un pouvoir qui lui était propre, un pouvoir qui pourrait servir à cette organisation. Pourquoi si il avait besoin de son pouvoir avait-il à plusieurs reprises refusé sa proposition d’entré à l’Akatsuki? Tout simplement parce qu’on ne demande par au chef de cette organisation si l’on peut y entré, c’est lui qui vous appelle. Mais cela n’expliquait pas tout, c’est aussi parce qu’il n’avait pas encore besoin de ses services et qu’il fera appel à lui le jour ou cet homme sera prêt à pénétré dans le sombre destin qui l’attendra. Pein après avoir donné le signal de départ dans l’esprit de quelques uns de ses membres, sauta de son piédestal, atterrit tout en bas de son village puisqu’il résidait dans la plus haute tour et la plus reculé du village.



Il partait sans que Konan ne le sache, il savait parfaitement qu’elle était au courant de ce voyage pour Konoha, mais elle ne savait pas quand cela allait-il ce passé. Pein ne voulait pas qu’elle soit mêlé à tout cela, elle n’était pas encore prête à volé de ces propres ailes, elle était encore trop faible pour cela. Même si elle était peut être assez forte pour battre un Juunin plus ou moins confirmé, selon Pein elle n’était pas encore assez sage, et forte pour pouvoir faire face à une guerre. Surtout que celle-ci n’était pas une guerre simplement faite pour s’amuser, ou pour aller capturé le bijuu qu’il y avait là-bas, elle servait surtout à bloquer les shinobis de Kiri et Konoha, les bloquer pour les empêcher de partir à notre route. Ça n’allait pas enlevé leur détermination, mais simplement les retenir quelques temps. Le temps leur était compté, selon les sources de Pein, le shinobi était déjà en route pour Konoha, et était bientôt arrivé. Heureusement que le village ou se cachait Pein n’était pas très loin, et qu’une discussion entre deux villages prenaient un certains temps, et tout cela leur ferait gagné beaucoup de temps. Une fois de plus un village allait être déstabilisé par l’Akatsuki. Pein sortit d’Ame sans se faire repéré, avec un simple Henge qui l’avait transformer en un habitant du village, et en camouflant son Chakra. C’était la seule façon pour qu’aucun n’individus ne puisse savoir qui était vraiment leur Dieu, celui qui les protégeait, celui qui faisait tout pour que ce village soit sauvé d’une terrible fin. Ce village qui avait été le terrain de jeu de beaucoup trop de guerre, ce pays qui se trouvait en léthargie, un pays que tout le monde pensait être en pleine guerre civil était en faite le repaire du plus grand puissant des membres de l’Akatsuki. Une fois sortit du village, il reprit sa forme originel, enfin plutôt il reprit la forme de l’un des corps qu’il possédait. Il enleva son bandeau ninja, et le mit dans une des poches intérieurs de son uniforme, pour ne pas que l’on sache d’où il venait. Car le fait de même voir son bandeau pouvait étendre les recherches des pays ninja jusqu’à Ame. Pein marchait en direction du village, il venait d’arrêter la pluie qu’il y avait à Ame, le temps de son voyage. Il arriva après seulement 4 heures non loin des portes du village de Konoha. Le chapeau de paille posé sur sa tête, la face caché, il se plaça en un instant devant les portes du village de la feuille, et sans regarder les gardes. Le temps n’était que très peu nuageux, et le soleil émettait de doux rayon. Le temps était parfait, mais soudainement Pein joignit les mains, se mettant de dos à la porte, les gardes positionnés sur celle-ci, et regarda le ciel. Il s’assombrissait, Jusqu’à ce que tout devint sombre. Il se retourna et quelques mots retentirent de l’homme qui masquait son visage.

- Amenez moi le shinobi de Kiri...